Les mosquées poussent comme des champignons au Bénin. Le phénomène déjà palpable dans le nord du pays prend désormais de l’ampleur à Cotonou. L’Imam de la mosquée centrale de Natitingou et quatrième vice-président de l’Union islamique du Bénin (Uib), Mohammed Sanni Nourou Dine estime que cette situation peut désacraliser la foi islamique. Il dévoile les mobiles qui sous-tendent cette floraison de lieux de cultes et la position l’Union islamique du Bénin.
L’Association pour la solidarité sociale (A2S) à travers sa branche Iskane, les étudiants du foyer universitaire ont adressé le 5 février 2022 un message de paix et de cohésion aux musulmans du quartier Houéyiho dans le 11ème arrondissement de Cotonou.
Le site d’hébergement des pèlerins au Hadj à Cotonou est fin prêt. Tel est le constat fait par une délégation du ministère du Cadre de vie et du développement durable le lundi 24 juin.
La paix pour le président Patrice Talon et les institutions républicaines et surtout pour une présidentielle 2021 apaisée. Il n’y pas, en ce moment, plus noble objectif cher à Alimatou Badarou et les femmes de la 15e circonscription électorale. Dimanche 25 janvier, elle a drainé un monde impressionnant de profils divers à la mosquée Imadou de Délokpo pour invoquer le nom d’Allah sur le Bénin.
Quatrième partie du dossier consacré aux facteurs pouvant conduire à la radicalisation et l’extrémisme violent au Bénin. Une restitution de l’« Etude sur les risques et les facteurs potentiels de radicalisation et d’extrémisme violent en république du Bénin » menée dans le cadre du « Programme de prévention de l’extrémisme violent en Afrique de l’Ouest et dans le bassin du lac Tchad –(Pprev-Ue II) ». Nous abordons aujourd’hui le foncier, un domaine de grande insécurité dans le nord-Bénin selon le Rapport.
“À l’occasion du jeûne du mois béni de Ramadan, Je souhaite que la prière de ce mois puisse libérer des énergies d’amour, de tolérance et de paix dans notre pays…
Le studio, la régie, la salle de conférence et la cabine technique de la radio « La voix de l’islam » à Cotonou, ont brûlé dans la matinée du jeudi 23 avril. Selon les informations rapportées par l’Agence Bénin presse (Abp), « tout serait parti d’une détonation dans les installations électriques de cette station de radio logée dans l’enceinte de la mosquée centrale de Zongo à Cotonou. Quelques minutes plus tard, la fumée aurait rempli les locaux avant que le feu n’embrase tout. » Pas de perte en vies humaines, juste d’importants dégâts matériels.
Les fidèles musulmans ont débuté, dimanche 5 mai, leur jeune connu sous le nom de ramadan. En quoi consiste-t-il ? Que gagnent-ils, les fidèles musulmans à s’y dévouer si tant ? Quelle est son origine et qu’arrive-t-il aux malades, aux voyageurs ? Réponse avec deux imams.
La communauté musulmane du Bénin célèbre le vendredi 31 juillet prochain, la fête de l’Aïd Al Kabir, la fête de la Tabaski. Une célébration qui se tient dans un contexte particulier marqué par la pandémie du coronavirus. Ainsi, compte tenu des mesures de restrictions prises par le gouvernement dans le cadre de la lutte contre la propagation de la maladie, le bureau exécutif national de l’union islamique du Bénin (Ben-Uib) a invité les fidèles, les imams et les responsables à divers niveaux à prendre certaines dispositions pour éviter la contamination au Covid-19.
Dans le cadre du cinquième Recensement général de la population et de l’habitat (Rgph5), le sociologue de la religion, Dr Achille Sodégla* plaide en faveur de la prise en compte de la « pluri appartenance » religieuse dans la collecte des données sur la pratique de la religion au Bénin. La méthodologie actuelle exclue selon lui, des milliers de Béninois qui ne sont pas « uniquement Catholiques, ni Protestants, ou qui ne sont pas uniquement Célestes mais qui préfèrent pratiquer tout à la fois ». Aussi, il observe que les Églises évangéliques et récemment la Mission de Banamè ont pris de l’influence, de sorte qu’il importe de leur consacrer une variable. A cet effet, il juge vagues les variables « autres chrétiens », « autres traditionnels » et « aucune » jusque-là renseignées. Il appelle aussi à ce que les chiffres qui sortiront du Rgph5 reflètent également les spécificités dans le Vodun plutôt qu’un recensement englobant. Lire sa contribution exclusive !
Bientôt le soulagement pour les fidèles chrétiens et musulmans impatients de renouer avec l’adoration dans leurs temples et mosquées. De sources concordantes, votre rédaction apprend qu’une rencontre consacrée à la fermeture des lieux de culte s’est tenue, jeudi 14 mai, entre le Comité interministériel de gestion de la pandémie du Covid-19 et des délégations des confessions religieuses à la salle de conférence du ministère de la Santé.
Le président Patrice Talon accompagné des ministres José Tonato du Cadre de vie et du développement durable et Alassane Séidou des Infrastructures et des transports, a visité mercredi 26 juin, le site de regroupement/hébergement des pèlerins au Hadj en construction à la place Idi d’Akpakpa. Objectif : s’enquérir de l’évolution des travaux notamment l’état et la qualité des travaux de finition de ce chantier, qui vise principalement à assurer un meilleur confort aux fidèles musulmans effectuant chaque année le pèlerinage en terre sainte de la Mecque. Après avoir fait tout le tour des bâtiments du site, le président Talon s’est entretenu avec l’entrepreneur en charge du chantier. Au cours de leurs échanges, le Chef de l’Etat a exigé encore plus de confort et de qualité irréprochable dans les matériaux utilisés sur ce site. Pour le président Talon, le site doit être le plus agréable de séjour possible pour les pèlerins.
« Islam et Sida à Djougou : acteurs et logiques ». C’est le sujet de thèse que Imorou Assan Aoudou a défendu mardi 25 octobre 2022. La recherche a satisfait le jury international présidé par le professeur Albert Jovite Nouhouayi qui a fait du thésard, désormais docteur de la 17ème promotion du Laboratoire d’analyse et de recherche, Religions, espaces et développement (Larred-Uac) du Prof. Dodji Amouzouvi.
Religion et éducation. N’yanwèi Espérance Obonte, de la 17ème promotion de docteurs du Laboratoire d’analyse et de recherche, Religions, espaces et développement (Larred), a soutenu mardi 25 octobre sa thèse de doctorat. Sujet : « Parcours scolaire et pratiques religieuses arabo-islamiques des enfants à Djougou ». Le jury international a salué son travail, lui a décerné la mention Très honorable avec félicitations et l’a élevée au grade de docteure de l’Université d’Abomey-Calavi en Sociologie-anthropologie.
Permettre aux familles démunies de fêter elles aussi en beauté la Tabaski. L’Association des jeunes pour la revive de la Sounna (Ajrs) a mené dans ce sens, une grande action de générosité le vendredi 31 juillet à travers l’initiative « Tabaski pour tous » mise en œuvre dans 17 communes.
La communauté musulmane célèbre ce mardi la Tabaski dans une atmosphère économique marquée par une flambée drastique des denrées alimentaires et autres produits de première nécessité. Le mouton, intrant incontournable de cette fête n’échappe pas à la conjoncture. Intrigués par l’idée de ne pouvoir se procurer un mouton pour une fête dénommée ” fête des moutons”, les musulmans interrogés sont partagés entre incertitude, indécision, plaintes, et absence d’engouement. Certains ne pourront pas carrément sacrifier de moutons‚ d’autres s’associent pour le faire. C’est ce qu’il ressort de ce micro trottoir.
L’Imam Boukary Idrissou de la mosquée centrale de Bohicon est le nouveau président de l’Union islamique du Bénin (Uib). Le successeur de Assifatou Mohamed Ali en poste depuis 2019‚ a été élu lors du congrès ordinaire tenu dans la ville carrefour le samedi 14 mai. Il dirige un bureau de 47 membres pour un mandat de 5 ans.